15/12/2009

Un poeme

Envie Lunaire



Contre les fureurs invisibles
Qui t'étouffent dans ton sommeil,
Je lâcherai les fauves hostiles
Qui les remplirons d'étincelles.

Ces êtres abjectes disparus
Je te rejoindrai dans tes rêves,
Je te prendrai dans mes bras nus,
Tendrai mes lèvres sur tes chaires.

Sur cette montagne, tes pourtours,
J'aimerais allonger mon corps,
M'enraciner à ton amour.

Et me lier à ce décor.
Ma vie sans toi ne serais rien
Car mon jeune cœur t'appartient.



2 commentaires:

  1. Je.... euh... >///< ... je sais pas quoi dire T.T C'est absolument magnifique... et si tu oses encore répéter une seule fois que tu n'es pas poète, tu n'as plus de bisou pendant 3 jours ! (et je peux te dire que je tiendrais le coup !!)

    RépondreSupprimer
  2. ^^' Bah Merci, et fait gaffe je suis têtu

    RépondreSupprimer