27/10/2009

Absence

Ou des vacances dans le Sud




[27/10] Voila une note qui sera des plus courtes. Je suis en vacances alors je ne pense pas poster avant la rentrée.Désolé pour ceux qui passent
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EDIT 31/10: Compte rendu rapide et listé

21°
Xbox
Facebook
Jardinage
Gros dodo
Vieux Cartoon
Gros repas délicieux
Marseille a suivre la cousine dans les boutiques
Et 10heure de route dans les genoux allé-retour

Voila, bientôt de nouveaux articles, dont un texte qui date de deux ans mais que j'affectionne tout particulièrement. See ya!


24/10/2009

I Feel good

I keep a close watch on this heart of mine
I keep my eyes wide open all the time.
I keep the ends out for the tie that binds
Because you're mine,
I walk the line

I find it very, very easy to be true
I find myself alone when each day is through
Yes, I'll admit I'm a fool for you
Because you're mine,
I walk the line

As sure as night is dark and day is light
I keep you on my mind both day and night
And happiness I've known proves that it's right
Because you're mine,
I walk the line

You've got a way to keep me on your side
You give me cause for love that I can't hide
For you I know I'd even try to turn the tide
Because you're mine,
I walk the line
I Walk The Line - Johnny Cash



Parce que c'est comme ça que je me sens ces temps-ci, je regarde en arrière et je ne vois que le passé. Mes souvenirs disparaissent, c'est mieux pour moi, mes souvenirs changeant, d'autres s s'ancre en moi... Je change -ou ai déjà changé-, je suis moi et ça me fais du bien parce que "Si je suis moi parce que tu est toi et que tu est toi parce que je suis moi, alors je ne suis pas moi et tu n'est pas toi." ("Art")
Pour vous dire, hier je suis aller a un vernissage, je passe du temps au bar, au JDR et je compte bien voir tout les films que je n'ai pas vu ces temps-ci. Je vais aussi faire la fête ce weekend. Je suis de nouveau le moi sociable et un peu déluré d'il y'à quelques temps. Et je plais, et je me plais. Que demander de plus?

16/10/2009

Zone d'Ombre

ou féniantite aiguë




Oula, une semaine sans article ce n'est jamais bon pour un blog, encore moins pour le miens avec ces 4 visiteurs semestriels (je spécule, mon tableau de bord sur Google Analytics ne semble pas fonctionner) . Ne vous inquiétez pas je vais me rattraper, je ne sais pas comment mais je compte bien le faire... Peut être vais-je étaler ma vie privée, écrire un petit texte, refaire une playliste? Je ne sais vraiment pas, alors je vais laisser le choix à la 1ere personne qui proposera (Comment ça j'essaye d'avoir des commentaires? Mais non!)

Je laisse donc cette article en attendant de l'éditer pour ajouter quelque chose de plus interessant.

10/10/2009

3GM

Ou 3 groupes que j'écoute en ce moment




Comme vous ne le savez sans doute pas, je ne sais -quasiment- rien sur les groupes que j'écoute, et je me fou pas mal de savoir qui à créer le groupe ou autre. Ce qui compte c'est la musique non? Le reste on s'en fou un peu.
Bon, je vous ai tout de même extirpé quelques informations made in wikipedia & Official sites histoire de ne pas avoir que des liens.


Blood Red Shoes

Blood Red Shoes est un groupe de musique alternative originaire de Brighton, Angleterre, crée en 2004. Laura-Mary Carter et Steven Ansell sont les deux seuls membres du groupe.
Ils sortent leurs premier album "box of Secrets" le 14 avril 2008 après avoir fait une bonne centaine de concerts, dont le Montreux jazz festival le 15.07.2008. (je l'ai ai connu via ce live-tv-)
Site officiel


Metric

Metric est un groupe canadien de Rock indépendant formé en 1998 à New York (mais actuellement basé à Toronto( Canada). Le groupe comprend au départ une chanteuse, Emily Haines (qui joue également du clavier), et un guitariste James Shaw. Leur premier album (EP) "Static Anonymity EP" sort en 2002.
Site officiel: Canadien / Français



The Asteroids Galaxy Tour

The Asteroids Galaxy Tour est un groupe de Pop danois créé en 2006 par Lars Iversen et Mette Lindberg. Tout le monde le connais grace au titre "Around the Bend" utilisé dans une pub pour l'Ipod.
Site officiel

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Voila pour aujourd'hui les enfants, et allez écouter ces groupes si vous ne les connaissiez pas et dites m'en des nouvelles. Je pense renouveller le '3GM' chaque weekend, soyez vigilants.

06/10/2009

Renouveau

Ou un baiser subtilisé






Il y'a des gens qui après une rupture, pleurent, s'en veulent, sont prit de colère et cherche à reconquérir l'ancienne âme-soeur. Et bien je tiens à leurs dire: "Ahah! Bande de cons!"
Continuer à chérir un être qui ne vous aime plus n'est que pure masochisme, une idée fanée, foirée et -presque-insensée!
Hurler "Pitié! Rendez-la moi!" alors qu'à côté de vous un être vous chuchote "Pitié! regarde moi..." c'est tourner le dos à l'amour, n'est-il pas? Surtout quand la jeune femme est belle, inteligente et qu'elle arborde un regard troublé à chaque fois que vous la mordez. (Oui pauvre lecteur, votre narrateur adore morde aux gorges).

De ce fait j'ai c(r)aché mes souvenirs dans un coins de ma chambre et ai voulut ne plus me consacrer à aucune femme pour l'instant. Mais les assauts répétés font s'écrouler les plus solides rempares des plus impénétrables villes (certains souririont à cette dernière métaphore).
Suite à la chute du mur, hurlant que j'étais un gateau à la crème, je me suis donné une semaine pour mettre en ordre les sentiments qui m'assaillaient. Il ne m'en a fallut qu'un. Puis j'ai joué à pile ou face entre 'maintenant' ou 'attendre encore' et je suis tombé sur le second... Et je n'ai résisté au premier que deux malheureux jours... Cela prouve que je désirais (et désire) la personne en question.

Toujours est-il lecteurs qu'après une dizaines de gestes avortés, je l'ai embrassé, comme si de rien n'était. Puis pour lui dire au revoir ce soir, je me suis de nouveau aventuré sous ses sublimes yeux hébétés.


j'aime marcher le cœur léger un sourire vissé aux lèvres

04/10/2009

Sans l'une...

L'autre s'effondre





Elle l'avait trahi. Elle l'avait trahi après de si nombreuses danses, interminables. Certes les nuages obstruaient de temps à autre leurs regards, mais ce n'étaient que des nuages blancs la plupart du temps.
Son départ n'avait tout d'abords rien fait à son ami qui s'était dit que, même seul, elle ne risquait rien. Elle était forte. Mais l'arrivée des nouvelles révolutions lui fit comprendre. Sans elle tout se déréglait. Les océans ne bougèrent plus, les nuits se changèrent en ténèbres et même l'activité interne se trouva modifiée. Le feu ne bougeait plus de la même façon, le feu ne cherchait plus à réchauffer mais à détruire, crachant des flots de destruction en direction de la fuyarde, ou du moins en direction de son ancienne place. Elle était seul et ne pouvait que cracher toute sa colère dans le vide. Les ténèbres.
Il lui fallut plusieurs jour pour se calmer, pour retrouver un déroulement normal, mais elle y arrivait. Le soleil brillait de nouveau, sur elle comme sur les autres, plus lointaines. La vie était revenue.
Mais comme si ce n'était pas tolérable, le ciel envoya un nouveau défit... Lié au précédent. L'ancienne cavalière fut surprise à tournoyer autour d'inconnues, cherchant une nouvelle orbite. Si peu de temps s'était écoulé.
La blessée se trouva de nouveau flamboyante. Crachant! Tremblant! dans ce flot de lave et de vent, ses eaux s'asséchèrent soudainement. Ses eaux s'étaient envolées recouvrant sa surface d'une insaisissable carapace... Fragile.

Cela fait maintenant quelques temps que la Lune a quittée son orbite, laissant la Terre seul à son triste sort, laissant une Terre qui avait changée au gré de son Satellite.



03/10/2009

Lemon

ou un texte acidulée.





Attention, ce texte peu heurter la sensibilité des plus jeunes et des plus étroits d'esprit.
Merci d'excuser les fautes, ce texte à été écrit il y'a un an. (en mai)




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«Tu seras toujours avec moi, hein?»
La main sur mon épaule, il m’avait demandé ça… si soudainement que ça m’avait fait peur. C’est vrai que l‘on était amis depuis la crèche, mais ces temps-ci il m'énervait pour presque rien, tout ça depuis qu’il s’était fait ces nouveaux amis... surtout elle, cette pimbêche qui l’allume à chaque fois qu’il croise sa route. Rien que d’y penser j’en ai les lames au bord des yeux. Enfin voilà, ça fait 16 printemps qu’on se connaît, nos mères nous ont mit au monde à quelques secondes d’écart, moi devant et lui suivant. Il faut dire que nos mamans sont de très bonnes amies, et voisines qui plus est. Imaginez la joie lorsqu’elles ont mit au monde, le même jour, presque à la même heure, et dans la même chambre, deux enfants du même sexe. Elle nous ont donc donnés le nom du grand-père de l’autre: Geoffrey pour lui, Damien pour moi. Vous me direz, elle auraient put prendre ceux de nos paternels... mais ‘faut dire que John Doe ça sonnait assez mal.
Enfin voilà, il était la, ses longs doigts enserrant mon épaule, et son souffle, rauque, si près du mien.
«Demande à ta chérie!»
J’aurais peut être dû être moins agressif, sur le coup il risque de vraiment mal le prendre...
«Quoi!?»
Qu’est-ce que je disais, j’aurais pas put faire pire que ça. Je n’ose plus rien dire.
«Tu crois vraiment que cette fille compte plus pour moi que toi? J’sais pas si tu te souviens, mais on est comme des frères, et je ne laisserais pas une fille se placer entre toi et moi.»
Ma gorge et nouée, mes yeux me piquent... J’ai comme une boule au cœur. Comment ai-je put être aussi débile, c’est vrai qu’il me considère comme son frère... Mais moi, ça a changé depuis “elle”... C’est devenu plus que de l’amitié.
«Mais...-J’ai du mal à parler-... Mais tu reste souvent avec elle, et vous vous câlinez tout le temps... J’peux pas le supporter plus longtemps, j’ai des envie de meurtre quand je la vois comme ça dans tes bras.
-J’t’ai déjà dis que c’était qu’une amie, et...
-Merde! Moi aussi j’suis ton ami!»

Je ne sais pas ce qu’il me prend, moi qui normalement ne montre pas ce que je ressent, je ne peut plus arrêter ce flot de tristesse, de colère et d’amour brisé... Je n’avais jamais été jaloux d’une autre personne.
«Tu...?
-Et si ‘oui’? De toute façon ça changera rien si...»

Ma phrase est coupée. Sa bouche... Il viens de coller ça bouche contre la mienne, il m’embrasse... Pour que j'arrête de parler? Non, ça ne lui ressemble pas... Il m’embrasse pour me consoler? Je ne sais pas, je n’arrive plus à réfléchir, je sais juste qu’il m’embrasse et que je répond à son baiser si sucré... On avait déjà testés, Il y a deux ans, mais ça ne ressemblait pas à ça. Bordel! Est-ce qu’il m’aime ou est-ce qu’il se fou de moi? Merde, il a arrêté... J’ai le souffle arraché, son goût est sur ma langue et mes lèvres... J’en ai la chaire de poule.
«Tu vois que ça change quelque chose.»
Je ne sais pas quoi dire, je suis pétrifié, même mes lèvres sont immobilisées. Je ne peux plus bouger, même pour lui sauter dessus... Merde! Mon palpitant fout l’camps, je me sens défaillir... Je n’ai jamais ressenti ça auparavant... C’est si intense. Il m’embrasse une nouvelle fois, mais plus calmement, plus lentement... Il a ravalé ça fougue de tout a l’heure, mais ça reste aussi sincère, aussi fort. je ne veux pas qu’il me lâche, je ne veux pas qu’il décolle son corps du mien... Si chaud... Je viens de me rendre compte que mon sexe s’est durcit... Et je sens aussi le sien collé contre moi. Merde que c’est bon. Il arrête de nouveau, j’ai envi de pleurer, de crier, comme un enfant qui à faim... Mais il descend ses lèvres, glisse sur mon menton, passe sur mon coup, lèche ma pomme d’Adam et continue à glisser... Puis en remontant, vers mon oreille cette fois. Sa langue joue avec mon lobe, il le gobe et commence à le mordiller... Merde, j’suis tout excité... et j’avais même pas fait gaffe que j’avais mes bras autour de sa nuque et que je lui serais les épaules. Si il ne me prend pas pour un fou c’est qu’il doit aimer... C’est vrai qu’il est assez casse-cou et que je me demande souvent si il aime se faire mal... Mais maintenant je sais, il doit être assez maso. Juste à entendre son souffle suave quand je le sert plus et que je lui enfonce légèrement les ongles dans la peau, je le devine. Bordel que c’est bon... Je n’sais pas si mon cœur, mon corps, vont tenir... Mais je veux aller le plus loin possible, même si je dois claquer entre ses bras, même s’il doit claquer l’entre de mon ‘moi’ ... Je le veux.

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Je marche dans la ville du plaisir, accompagné par le plus beau garçon de cette saison, le souffle court et l’âme allongée. Ses baisés, doux et sensuels, papillonnent au travers de mon corps maintenant en contacte avec le sien sans aucun artifice pour les gêner. Il a arraché ma chemise et j’ai ôté son maillot. Il a ouvert mon cœur et y a planté sa langue chaude, choquante et chavirante. Je suis allongé sur le dos tandis qu’il l’est sûr moi. Son souffle parcourt la partie découverte de mon corps, ses doigts font claquer mon caleçon et mon cœur. Sa langue continue à glisser sur moi, passant sur mon nombril, s’attardant sur ma poitrine et se languissant entre mes lèvres. Je ne pensais pas qu’il était aussi doué que ça. Et moi qui n’ai jamais touché personne... Mais il me l’a dis, il préfère mener cette longue danse, me tester et m’habituer pour que je survive entre ses bras plus d’un tour de chrono. Mes joues sont bouillantes, mon cerveau surchauffe d’informations de plaisirs transmises par tout les pores de ma peau. Mon sexe, plus rigide que jamais semble vouloir s’extirper de mes vêtements pour aller retrouver le sien.
«Te voilà suffisamment excité pour passer à la suite.»
Il est très calme, sa voix déjà normalement belle est devenue plus que fantasmagorique. Sa bouche descend sur mon jeans, ses dents arrachent les fermetures et ses mains enlèvent le bout de toile. Il remonte vers moi et m’embrasse, me demandant de faire pareil. Je passe donc mes deux mais sous son ventre, tout en en profitant pour le caresser au passage. Je saisis la frêle fermeture et la fait glisser avant de passer une main à l'intérieur et de caresser son sexe du dos de la main. Je glisse un doit sous le bouton et tire un coup sec, l’arrachant simplement. Je suppose qu’il ne s’attendait pas à ça. Je descends ensuite son vêtement, il m’aide pour aller plus vite et le projette contre le mur où il s’écrase lamentablement au sol. Il se plaque contre moi, se glisse entre mes bras, entre mes cuisses, pour que sa verge se colle à la mienne à travers la toile de nos sous-vêtements. Il bouge son bassin et je la sent durcir un peut plus, l’imaginant tel une plante fantastique, s’entourer autour de la mienne. Ses lèvres cherches les miennes, mais il ne trouve que ma nuque. Mon visage regarde le mur derrière moi, mes bras caressent ses fesses et ses reins tandis que sa bouche m’embrasse sauvagement, et que ses dents me mordillent tendrement. L’extase au sens propre du terme, voilà ce que je vis, et je languie d’impatience en attendant la suite... La suite qui arrive déjà. Il me fait rouler au dessus et me demande une faveur. Tendrement, j’arrache le dernier bout de tissus avant de me rendre compte que je ne sais pas comment il l’aime. Je le regarde, peiné de ne pas le savoir, et il comprend tout de suite mon problème. Il m’embrasse.
«Ne t’en fait pas, je suis la pour te montrer.»
Doucement, je colle ma main sur sa verge, pris entre ses doigts. Il sert lentement la prise et commence les mouvements. Je suis le rythme et il ressert légèrement la prise, continuant toujours aussi lentement avant de me lâcher, me laissant faire seul maintenant que je sais ce qu’il aime. Je ne monte pas très haut, mais descends très bas, je n’ai pas peur de serrer trop fort puisqu’il aime. Je le regarde s’enivrer de plaisir, sa main gauche prise dans ses cheveux, et l’autre dans les miens. Je continue mes actes, prenant plaisir à l’avoir en main, à serrer plus fort et relâcher pour le voir se cambrer sous mon visage. Il semble venir mais me retourne subitement, je lâche prise et il attrape la mienne, la malaxant tendrement, plongeant profondément, et remontant aussi haut que possible. Il ne sert pas, il le fait comme j’aime. Il sait. Comment a t-il put deviner? Suis-je si transparent à ses yeux? Mais ceci n'a pas plus d’importance, n’en a jamais eu et n’en aura jamais. Ses longs doigts enroulés autour de ma verge continuent leurs slow langoureux alors qu’il se tend pour que je l’embrasse. C’est a mon tour de le titiller de ma langue, partant de sa joue, grimpant sa mâchoire puissante, puis coulant dans le creux de son coups, m’y attardent légèrement avant de lui dévorer, plus haut, le lobe de l’oreille. Un cri sort de sa gorge, j’ai peur de lui avoir fait mal. Sa main libre remonte tandis que l’autre accélère le rythme. Il attrape mon visage au niveau de ma tempe et le colle un peut plus sur lui. Je le mord de nouveau, et cette fois, c’est un gémissement que je comprend de plaisir qui s’extirpe de sa bouche. Sa tête est collée sur ma poitrine bientôt inondée de baiser. Il accélère encore le rythme et ressert soudainement la prise, provocant une extase orgasmique des plus merveilleuse. Je me cambre sous lui, mes poings serrés, mes coudes poussés en arrière et mes fesses soulevées. Aucun cri ne s’échappe de moi, juste un long râle de vieux fauve. Je retombe brusquement sûr le lit, ne quittant pourtant pas le Septième ciel. Son visage descend, il lèche mon sexe et le prend en bouche pour le nettoyer de sa langue
humide et chaude. Je laisse passer un crie de surprise lorsqu’elle passe sur mon gland. Mon sexe et en feu et le moindre contacte laisse passer une sensation étrange, excitante, légèrement douloureuse. Il remonte vers moi et m’écarte les jambes.
Le moment arrive rapidement, tel un éclaire dans un ciel d’été, il se colle à moi.

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Ses mains m’attrapent au niveau des hanches pour me tirer plus vers lui. Son sexe se retrouve collé à mon périnée, prêt à m’agiter. Il enlève une de ses mains et la dirige vers sa verge qu’il saisit. Il la place, la glisse lentement et tendrement. Je ne peux que me cambrer sous cette adorable douleur et il ralentit, inquiet, ne voulant me faire aucun mal. Je lui caresse la jambe, lui intimant de ne pas s’en faire pour moi. Je suis fort, et si pour me faire posséder par cet homme il faut que je ressente une légère douleur, je l’accepte et le souhaite. Il m’attire encore plus, s’enfonçant dans mon être. Je n’ai rien sentit de comparable durant tout mes flirts. Je me sent apaisé et je suis aussi chaud qu’une braise. Il se penche un peut plus et me tire vers lui, je l’attrape par la nuque pour ne pas retomber et le sent ensuite bouger sous moi. Un cri sort de ma gorge, accompagné de soupires de plaisir. Je bouge a mon tour, m’habituant peu à peu à cette posture. Je ne me pose plus aucun question, je vis juste l’instant présent, le sentant bouger en moi, aussi dur qu’un roc. Je l’aime, et cet acte sera le plus beau de ma vie. Il bouge un peut plus, encore plus rapidement me voyant gémir de plaisir. Ce vas-et-viens semble durer depuis une éternité avant que je sente sa sève glisser en moi. Dans un ultime effort, il me fait bouger sur lui, m’attrape à la bouche et m’embrasse passionnément. Je me vois fondre, la sueur coulant de mon front me rend aveugle, et l’effet que fait sa verge plantée en mon être m’oblige à gémir une fois encore tellement fort que j’en perd toute force. Je le lâche et me vois m'effondrer sur le dos. Il me rejoint quelques secondes plus tard, s’allongeant sur moi, passant sa langue sur mon torse, remontant jusqu’à mes lèvres. Nos langues jouent ensembles encore un long moment avant qu’il ne glisse sa main sur mon bas ventre, attrape mon sexe et le caressant de nouveau. Je suis plus excité que jamais et il recommence ses gestes, plus difficilement dans cette posture. Il passe sa langue sur ma nuque et la mord. Ses dents me serrent peu, et sa langue joue sur mes veines, comme sa main plus bas. Je sens mon sexe gonfler, comme si tout mon sang ne circulait plus que dans ce membre. Il intensifie le mouvement et glisse ses lèvres de ma nuque à mon torse, de mon torse à mon ventre, pour finir sur mon sexe. Sa langue remplace en grande partie ses mains, tournant autour de moi. Il m’attrape entièrement. Ma tête part en arrière dans un soupire final. Je le sent jouer encore de longues secondes avant qu’il ne remonte à mes lèvres. Il s’effondre à coté de moi, et je roule pour qu’une partie de mon corps soit encore en contacte avec lui, que mes lèvres se nichent dans le creux de sa nuque. Je m'endors, tout comme lui, épuisé.
Le soleil s’est peut être levé depuis deux bonnes heures, mais je m’en fiche. Je suis bien ici, dans son lit. Je me remémore cette longue nuit et ne me demande pas une seconde si j’ai bien fait, car j’ai bien fait. Son odeur m'imprègne tout comme ma sueur, et je trouve étrange de trouver mon sexe de nouveau dressé. Peut être ne se rappel t-il pas de la nuit dernière.
J’ouvre les yeux sur un oreiller ou la tête de mon amant ne repose plus, sur un matelas ou son corps n’est plus. Je me redresse soudainement. La chambre est vide. Ou est-il?! Je me lève, enfile mon caleçon et remarque que son jeans n’est plus là ou il aurait dut rester jusqu'à cet après midi. Je sort de la chambre, ouvre la porte, franchi le petit couloir et le retrouve torse nu, de dos, dans la cuisine. Des bruits répétitifs se font entendre, en rythme avec le mouvement de son bras. J’avance, passe ma tête sur son épaule, curieux, et le vois en train de découper divers aliments pour les faire ensuite glisser dans deux bols. Il nous prépare une salade? J’espère qu’il ne me regarde pas, car mon visage doit avoir prit une teinte rouge. Je ne pensais pas qu’il était si adorable. Je l’embrasse dans le coup et me colle amoureusement contre lui. Il passe une main sur mes fesses au mêmes moments que les miennes arrivent sur ses pectoraux et il me lance:
«Bien dormi chéri?»
Je deviens encore plus rouge suite à ce petit nom lancé à mon attention et le sert encore plus contre moi, heureux que nous en soyons là... Chéri. Je l’embrasse sur la joue pour lui dire oui et le regarde continuer son travail.
«Tu nous fait une salade au petit déjeuner?»
Un rire. Il tourne sa tête vers la mienne et m’embrasse avant de me lancer qu’il est déjà midi. j'élargis les yeux et regarde l’horloge toute proche qui indique exactement midi et onze minutes.
«J’espère que tu as bien dormi.»
Je lui répond que oui lorsqu’il saisit les deux bols et se dirige vers la table du salon. Il nous met l’un en face de l’autre et s’assied. Je fais de même et commence à manger, affamé. En plus d’être un amant adorable il est bon cuisiner. Je crois qu’on ne peut pas tomber mieux.
«C’est quoi cet arrière goût?»
Il avale une boucher, me regarde de ses yeux si séducteur -pervers?- et frôle ma jambe avec son pieds, remontant petit a petit pour le coller sur mon entre jambes et me répond.
«Gingembre.»
Un sourire coupe maintenant nos deux visages.
Je crois bien que son jeans va trainer sur le sol encore plus longtemps que ce que je pensais...





02/10/2009

Le retour du guerrier

Ou étalage de vie privé.





C'est après deux semaines -ou une très longue- que je peux enfin accéder à mon ordinateur, et je peux vous dire que cela fait un bien fou.
(De toute façon je n'ai manqué à personne je pense vu les courbes de l'activité du blog.)

Flash info important dans ma vie:
-Une relation de plus d'1an foutu en l'air (largué ça sonne pas assez mal)
-Pas de nouvelles photos prises mais des idées
-Une jolie-fille peu discrète
-Otaku Girls lu et adoré
-Exposé sur Bob Dylan
-Mauvaises notes
-Option cinéma
-Tir à l'arc

Voila c'est à peu près tout.

A plus tard pour des articles un peu plus normaux.