24/12/2009

Pom-pompom

Monsieur Patapon va passer de bonnes fêtes





Et oui, je crois que cette année fut la meilleur au niveau des vacances et sorties. Entre l'été chez de la famille à me baigner, bronzer et me faire raccourcir les cheveux (j'ai aimé, vous rendez-vous compte?), ces derniers mois entre amis ou dans une agréable intimité, ce début de vacance entouré d'amis et de ma Chérie... et puis ce n'est pas fini.
Pour nouvel an, du 28 au 3 pour être précis, je serai sur Paris chez Pilou et Benoit. J'en profiterai pour passer voir de la famille ainsi qu'Angela, sans doute Lucile, Avatar si j'ai le temps et visiter un peu la ville (Sans oublier de me faire trainer dans des magasins).
Je sens que ce nouvel an va être excellent, tellement de chose à faire, tellement de gens à voir. Peut être n'aurais-je pas le temps -ce qui serais vraiment ennuyant.

Toujours est-il que vous n'aurez pas de nouvelle durant cette longue période -ce qui ne vous changera pas d'habitude- et vous aurez au moins un article d'assuré pour la rentrée. Un bon petit compte rendu mal organisé et dans un ordre qui essayera d'être chronologique.

Sur ce, je vous souhaite de bonnes fêtes et une bonne année -je vous épargnerai le commun "A l'année prochaine"-
Et n'oubliez pas pour vos bonnes résolutions, préférer en prendre des mauvaises, car comme ça si vous ne les respectez pas personne ne vous en voudra.

Je vous donne les miennes:
-Devenir Le Sérénissime 'Dieu-Tout-Puissant'
-Tuer plein de bébés chiots
-Manger plein de bébés chats
-Devenir un monstre avec trois tentacules et un oeil
-Vendre ma famille
-Avoir un harem de Japonaises et un de Suédoises
-Voler au sens propre le cœur de jumelles
-Manger des placenta pour garder ma jeunesse
-Exterminer 1/2 de la population mondial


Et comme c'est les fêtes, vous avez le droit à un smiley abstrait (à vous de me dire ce que vous voyez)

()__()
|°O°|
_A___A_

(Cette photo à été prise au Printemps/été à Dijon, mais bon)

18/12/2009

La Neige

...Ca me pète royalement les couilles.






[Attention, cette note est inintéressante, grincheuse et chiante. Allez plutôt lire du Lovecraft ou du Bradbury.]



Enfin, j'en entends déjà s'interloquer: "Quoi? Il aime pas la neige?" Et bah oui, j'aime pas la neige, et ce pour plusieurs raisons, des bonnes et des moins bonnes:
-La neige, c'est de l'eau. Je n'aime pas l'eau.
-La neige ça fou un bordel pas possible sous mes semelles. Ca glisse, puis sa fond en gadouillou.
-La neige, quand y'en a, Il y a toujours des cons pour en faire des batailles, et d'autre pour s'en extasier comme s'ils n'en avaient jamais vu avant.
-La neige empêcher certaines déplacements; Voiture, train, etc
-La neige, ça me rappel certaines envies, plus ou moins passés. La neige, un chalet, les loup: Le Québec profond.
-La neige, la neige, la neige

Qu'on me serve des flocons à Noël, soit. Mais qu'on me force à en avaler le dernier jours des cours, je dis non! Pourquoi ne pas avoir attendu ce soir? Quand j'étais chez moi, tranquillement assis face à ma cheminée, du Zola entre les mains (je brode, je n'ai pas de cheminé et ne lis pas encore Zola)... Assis, disais-je, au chaud, au sec.
Et bien non, 'Il' -Dieu, Gaia, Mère Nature, Ta sœur, peut importe- a décidé de me pourrir la journée et jetant son putain de grand manteau blanc sur mes épaules alors que je n'ai pas froid.
Toujours est-il que cela ma valus une journée de merde dans le fait que, de mauvaise humeur, j'ai été chiant, désagréable, sur les nerfs. Et je n'aime pas.
En plus de cela, la période de fêtes approchant, je deviens comme chaque année, antipatique et bouguon -ne me demandez pas pourquoi je ne le sais pas.




D'un autre côté... un flocon de neige, un vrai un bon, posé sur le manteau noir de quelqu'un... Ca à d'la gueule.

15/12/2009

Un poeme

Envie Lunaire



Contre les fureurs invisibles
Qui t'étouffent dans ton sommeil,
Je lâcherai les fauves hostiles
Qui les remplirons d'étincelles.

Ces êtres abjectes disparus
Je te rejoindrai dans tes rêves,
Je te prendrai dans mes bras nus,
Tendrai mes lèvres sur tes chaires.

Sur cette montagne, tes pourtours,
J'aimerais allonger mon corps,
M'enraciner à ton amour.

Et me lier à ce décor.
Ma vie sans toi ne serais rien
Car mon jeune cœur t'appartient.



28/11/2009

Oh mon Dieu!

Mais ce forum tiens le coup!




Je n'ai que peu de temps pour vous expliquer quelque chose, ma pizza est en trait de cuire.

J'ai juste remarqué, et je les en remercient, que les gens notaient mes articles. (le "bien" "nul" et "bof" sous l'article) ...Mais ces mêmes gens ne savent pas comment mettre un commentaire sur ce même article! Alors je vais vous expliquer:
En dessous de l'article est écrit "

21/11/2009

Mots d'Amour

enfin...


Je me suis beaucoup amusé à écrire cette fic, et la contrainte d'y incorporé des mots donnés par des fous était assez interessante... Je devais placé; Têtard, Censure, Ritournelle, Orgie, Suicidogéne, Gazelle, Enrobée, Macadam, Proctologue, Katana, Walkyrie, Orgasme, Poisson pané, Quadragénaire, Hermaphrodite, Hémoglobine, Prostitué, Catimini, Merde, Froid, Analgésique, Syntaxe, Parallélépipède rectangle, Globes oculaires, Parachutiste téméraire.
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«J’ai toujours aimé les androgynes...»

Leurs relation avait commencée par cette simple phrase dite en catimini. Keitsu, Européen de souche, avait révélé son amour pour Fuu quelques secondes plus tôt et s’était sentit aussi obligé de lui dire qu’il n’était pas un garçon.

_En fait, j’suis pas un garçon.
_Ah, bah ca me gêne pas tu sais.
_Ouais mais j’suis pas non plus une fille...

L’un des deux yeux de Fuu s’était élargie dans une incompréhension quasi-total. Il n’avait même pas eu le temps de lâcher un “comment ca?” qu’on lui avait répondu.

_J’suis Hermaphrodite.
_Merde...

Non pas que cet aveux avait jeté un froid, mais Fuu ne connaissait pas ce thermes et l’avait pris pour un nom de maladie qui ne pouvait pas étre soigné a grands coups d’analgésiques. Mais Keitsu avait compris qu’il n’avait pas... compris.

_Ca veut dire que j’ai le corps d’une femme... Mais le sexe d’un homme.

Son hémoglobine avait bouillit a ses dires et ses joues étaient devenus aussi rouges que les fesses d’une prostitué après une nuit bien chargée. Mais la réaction de Fuu les avait fait redevenir plus blanches.

_T’est l’amant idéal pour un bisexuel alors.


Enfin bref, tout ca c’est passé il y’a plus d’un an, et depuis ce jour, rien n’a vraiment changé entre eux, sauf que Fuu a laissé tomber les syntaxes, les: “A quel vitesse tombe un parachutiste téméraire de 80 kg?” et autres questions sur le diamètre d’un parallélépipède rectangle pour celles bien plus compliquées tel que: “Quelle maladie peut avoir une personne qui se retrouve les globes oculaires sortis de leurs orbites?”. Bref, pour ceux qui ne l’ont pas compris, il est en fac de médecine. Mais ce soir, c’est congé, au plus grand bonheur de Keitsu qui n’a pas vu son petit ami depuis plus de 24 heures.
Nous les retrouvons donc les deux allongés sur le canapé de Fuu -son quadragénaire occupé a faire les courses-, Keitsu posant difficilement quelques questions sous les caresses de son amant aux cheveux blonds coupés en dessous des oreilles.

_Avoue, t’est en médecine pour connaître un tas de drogue.
_Pas exactement.
_Oh, je vois... pas celles pour te camer, mais celle pour...

Fuu affiche un large sourire tandis que Kei l’embrasse sur le torse. Ils adorent les jeux sexuels et si diverses substances peuvent prolonger les sauts de gazelle de Kei toute une après midi... Whaou!
Fuu passe une main dans les cheveux étonnamment longs et bruns de son amant qui le rendent encore plus feminin qu’il ne l’est et fini son chemin sur sa poitrine.

_Sa passait relativement plus inaperçu avant...
_Avant je faisait juste androgyne mais maintenant... Même moi j’sais pas si j’suis un homme ou une femme.

La deuxième main de Fuu glisse jusqu’a l’entre jambe de Kei qui, surpris, lâche un petit cri. Sa main commence lentement a exercer un vas et viens profond, durcissant le membre de l’hermaphrodite. Le blond continu son action tout en accélérant, approchant son ami de l’orgasme. Lorsque celui-ci dit qu’il ne peut plus se retenir, Fuu place sa main pour recevoir le doue nectar sur deux de ses doigts. il les portes a ses lèvres, puis a celles de Kei et lui susurre:

_Au goût, je dirais homme.

Les deux doigts s’engouffrent dans la bouche de son amant tel un katana dans le ventre d’une walkyrie, et la langue de celui-ci commence a jouer avec, les nettoyant de sa semence. Fuu les retirent et l’embrasse lorsque son père frappe a la porte avant d’entrer les bras chargés de courses. Il ne fait aucune remarque sur la posture allongé des deux amoureux et passe dans la cuisine tout en adressant la parole a son fils.

_On aura pas de poisson panés ce soir, une grosse conne m’a bousculé et ils se sont ouverts sur le macadam...
_On dis pas grosse mais enrobée.
_J’plein son proctologue, ca doit étre le seul mec qui la touche encore. J’te jure, y doit pas exister de personne aussi suicidogéne que ta mère.
_Putain papa, pas devant les invités!
_C’est pas ma faute, elle avait cas pas bouffer autant... Enfin, j’la comprend, ses paquets de bonbons c’était la seul façon pour elle de participer a une orgie.
_Papa!
_Et dire que j’lui ai chanté des ritournelles plus jeune.
_Quand tu était encore sympa tu veut dire?
_Non, quand elle était encore belle.

Les deux parentés se regardent quelques secondes sans un mot avant que Fuu ne tourne la tête vers la porte fermée. Il regarde ensuite son amant qui tire une drôle de tête et se tourne vers son père pour savoir ou est sa génitrice.

_Oh, elle va passer la semaine chez ca mère.

S’en est trop pour Keitsu qui, les larmes aux bords des yeux, explose de rire. Les homme de la maison le regardent étrangement avant de hausser les épaules et que l’adulte retourne dans la cuisine ou il lance une dernière phrase.

_Et ta chérie reste dormir je suppose.

Évidement, peut de monde est au courant du petit plus de Keitsu, et encore moins un père qui, bien que gentil, critique tout ce qu’il veut critiquer. Mais ne vous en faites pas car comme le dit Fuu, dans le fond, c’est pas un si gros con.
Toujours et il que son paternel allait sans aucun doute les laisser tout les deux tranquil et sortir avec ses amis. Nos deux tourtereaux pourraient donc s’amuser tranquillement sans aucune censure de peur d’une intrusion du vieux.

~-~-~-~-~-~-~-~-~-~-~-~-~-~-~-~

Je passe sous silence le repas chargé de blagues bien grasses su genre: “Quel est la différence entre un têtard et ta mère?”, pour arriver directement a la soirée.
L’adulte est sortit, laissant les deux enfants seul dans la chambre, une musique anglaise en fond sonore. Nous retrouvons donc Fuu, chemise ouverte, allongé sur le flanc droit a coté d’un Keitsu sexe moulé dans un boxer blanc et poitrine collée contre le torse du blond. L'hermaphrodite récite des Alexandrins sous les caresses de son aîné qui prend de plus en plus de plaisir le torturer. Sa main gauche glisse sur la douce poitrine de Kei, la malaxant tendrement et pinçant de temps a autre l'extrémité d’un de ses seins. Ses doigts glissent sensuelement jusqu’a son nombril, en font le tour, et descendent encore d’un étage. La difficulté pour atteindre la verge du brun n’est pas bien élevée, l’élastique de son sous-vêtement étant déjà assez relevé pour y glisser une main, et c’est ce que fait Fuu. Il saisit le sexe de son bien aimé et le fait sortir de sa cachette toute en lui infligeant de douceâtres douleurs.
Le souffle court, Keitsu continu a réciter son texte, déglutissant a chaque mouvement de main si habiles du blond, le forçant de temps en temps a reprendre son récit au début. Sa main accélère tandis que sa bouche papillonne sur la poitrine du brun, jouant de sa langue sur l'extrémité de ses seins. Quelques morsures plus tard, Fuu stoppe les caresses pour arracher ce dernier habit. Sa bouche rejoint lentement sa main, humidifiant de sa langue le membre ogival, recommençant a le manipuler. Faisant onduler autour de lui cette chaude caresse ou l’entourant simplement de ses lèvres, Fuu ne fait que soupirer de plaisir son amant qui, maintenant brûlant, prend de longues poses entre ses phrases. Le rythme accélère, la main ne servant plus qu’a accompagner la bouche du blond, arrachant des soubresauts au corps déjà si mobile de Keitsu. C’est dans un long râle que celui-ci se relâche, laissant couler la sève sur les lèvres de son amant qui continue encore un instant ses gestes.
Voulant prendre a son tour du plaisir, l’étudiant en médecine retire ses habits, écarte les jambes de Keitsu et sans autre cérémonies, y fait glisser sa verge. Il se penche sur la poitrine de son amant, saisit ses hanches et commence une autre sorte de vas et viens sous les cris de Keitsu. Son bassin se met lui aussi a s’agiter, remuant encore plus sensiblement en kei, saccadant sa propre respiration ainsi que celle du brun qui semble recommencer son texte.
Fuu s’allonge quasiment sur lui, embrassant sa poitrine et entourant son corps de ses longs bras pour tirer a lui l’androgyne. Son corps sursaute, augmentant ses vas et viens tout en le mordant. Ses crocs s’enfoncent dans la chair de Keitsu lorsque l’orgasme ne peut plus étre retenue. Fuu se déverse en lui, serrant son amant dans un dernier effort avant de s'effondrer sur lui et de relever la tête.

_Tu as encore fait une faute... Il faut que tu reprenne depuis le début mon cœur.

Ses lèvres descendent jusqu’a sa gorge qu’il mordille tandis que ses mains se posent sur le matelas. Glissant son bassin sur celui du brun qui ne peut que s’y engouffrer, Fuu rajoute une phrase avant de commencer a onduler son corps.

_Et tu sais que je n'arrêterais que lorsque tu le récitera sans aucun accroc.


(Comment ça l'illustration est obscène?)

15/11/2009

J'avais quelque chose à dire

Mais j'ai oublié.



Ce blog commence sérieusement à s'encrasser. J'ai commencé par un message -voir deux- par jour et me voila à poster difficilement un plus-ou-moins-message toutes les semaines. Je pense que ça va continuer comme ça un moment, mais ce n'est pas de ma faute. Plaignez-vous aux Séries et aux fait que je dois bosser (1er L oblige).
J'avais aussi parlé de mettre sur chaque article une de mes photos, du moins si j'en ai une qui s'y rapporte, mais mon appareil n'est pas sorti de sa boite depuis quelques temps, fautes de temps et d'idées... Enfin, j'ai des tas d'idées mais je les oublient. Et en plus c'est l'Automne, temps pourrit, tout le monde reste chez soi et surtout moi.

Bon, ce message n'était pas pour me plaindre mais je dérive souvent ces temps-ci.

*En parlant de dérive, rappelez-vous de "Ma première fois", cette fic yaoi qui se fini par une salade de fruit. Et bien j'ai décidé, au vue des demandes et des compliments, de faire une suite. Je ne sais pas quand je la commencerais, ni quand je la finirais, mais j'espère que ce sera avant l'an prochain.
*En parlant de l'an prochain (Whaou! s'avez vu les transitions de malades là?) j'ai décidé de faire une demande de candidature à Dev'Art pour une exposition, la Biennal 2010 qui se déroulera comme tout les ans a Besancon. Je pense avoir toutes les capacités pour le faire et je compte bien prendre en main ma carière et me faire connaitre.

Voila les news du moment -un poème arrivera prochainement- Merci à ceux qui suivent ce blog et bonjour aux gens de passages et aux étrangés (Parce que j'ai eu la visite d'un Canadien, de plusieurs Allemand, Belge et même d'un Mexicain)

Iggy Pop - I Need Somebody


Petit Bonus: Dérive Facebook

09/11/2009

Poéme

Cella faisais bien longtemps






Bien-être


Lié à ce lieu
L'œil doux et amoureux
Dans ce ventre chaud, tendre
Passe ma vie heureux

Être seulement soi
Être simplement sien
Qu'elle soit mienne eu destin
D'un futur incertain

Chatouillant tous mes sens
Ce désir enivrant
Je me sens comme en transe

Ma langue désirant
Cette brume qu'encense
Les désires présents.



03/11/2009

Dollhouse

Je veux une poupée!





Mesdames et messieurs, comme promis me revoilà pour vous faire découvrir de nouvelles choses (non mesdames, pas ces choses là...)
Aujourd'hui votre humble serviteur va vous parler d'une série fort sympathique qui sera diffusé sur Téva Jeudi prochain. J'ai l'honneur de nommer "Dollhouse".


Synopsis
-de m...- (wikipedia)

"Dollhouse" est un laboratoire dont l’existence est secrète. Ce centre futuriste abrite de nombreuses 'dolls', des hommes et des femmes qui sont programmés pour accomplir différentes missions. Que ce soit pour devenir l’amant d’un individu ou pour éliminer quelqu’un, les scientifiques présents au sein de ce programme peuvent effacer à leur guise la mémoire de chaque doll, pour ainsi leur imprégner une nouvelle personnalité qui leur permettront de remplir leur contrat. Mais les souvenirs de la jeune doll Echo vont peu à peu refaire surface… En effaçant leur mémoire, les programmeurs effacent-ils aussi l’âme de la doll ?


A première vu l'idée est pas mal, pouvoir créer la personne idéal, lui donner les sentiments, connaissances et idéaux que l'on veux. La petite amie idéale peut donc être créée! Magnifique, surtout que ce n'est pas moins qu'Eliza Dushku (Faith dans Buffy) qui joue Echo.

Alors un conseil pour ce soir; Les enfants, allez donc jouer à la poupée.

27/10/2009

Absence

Ou des vacances dans le Sud




[27/10] Voila une note qui sera des plus courtes. Je suis en vacances alors je ne pense pas poster avant la rentrée.Désolé pour ceux qui passent
-

EDIT 31/10: Compte rendu rapide et listé

21°
Xbox
Facebook
Jardinage
Gros dodo
Vieux Cartoon
Gros repas délicieux
Marseille a suivre la cousine dans les boutiques
Et 10heure de route dans les genoux allé-retour

Voila, bientôt de nouveaux articles, dont un texte qui date de deux ans mais que j'affectionne tout particulièrement. See ya!


24/10/2009

I Feel good

I keep a close watch on this heart of mine
I keep my eyes wide open all the time.
I keep the ends out for the tie that binds
Because you're mine,
I walk the line

I find it very, very easy to be true
I find myself alone when each day is through
Yes, I'll admit I'm a fool for you
Because you're mine,
I walk the line

As sure as night is dark and day is light
I keep you on my mind both day and night
And happiness I've known proves that it's right
Because you're mine,
I walk the line

You've got a way to keep me on your side
You give me cause for love that I can't hide
For you I know I'd even try to turn the tide
Because you're mine,
I walk the line
I Walk The Line - Johnny Cash



Parce que c'est comme ça que je me sens ces temps-ci, je regarde en arrière et je ne vois que le passé. Mes souvenirs disparaissent, c'est mieux pour moi, mes souvenirs changeant, d'autres s s'ancre en moi... Je change -ou ai déjà changé-, je suis moi et ça me fais du bien parce que "Si je suis moi parce que tu est toi et que tu est toi parce que je suis moi, alors je ne suis pas moi et tu n'est pas toi." ("Art")
Pour vous dire, hier je suis aller a un vernissage, je passe du temps au bar, au JDR et je compte bien voir tout les films que je n'ai pas vu ces temps-ci. Je vais aussi faire la fête ce weekend. Je suis de nouveau le moi sociable et un peu déluré d'il y'à quelques temps. Et je plais, et je me plais. Que demander de plus?

16/10/2009

Zone d'Ombre

ou féniantite aiguë




Oula, une semaine sans article ce n'est jamais bon pour un blog, encore moins pour le miens avec ces 4 visiteurs semestriels (je spécule, mon tableau de bord sur Google Analytics ne semble pas fonctionner) . Ne vous inquiétez pas je vais me rattraper, je ne sais pas comment mais je compte bien le faire... Peut être vais-je étaler ma vie privée, écrire un petit texte, refaire une playliste? Je ne sais vraiment pas, alors je vais laisser le choix à la 1ere personne qui proposera (Comment ça j'essaye d'avoir des commentaires? Mais non!)

Je laisse donc cette article en attendant de l'éditer pour ajouter quelque chose de plus interessant.

10/10/2009

3GM

Ou 3 groupes que j'écoute en ce moment




Comme vous ne le savez sans doute pas, je ne sais -quasiment- rien sur les groupes que j'écoute, et je me fou pas mal de savoir qui à créer le groupe ou autre. Ce qui compte c'est la musique non? Le reste on s'en fou un peu.
Bon, je vous ai tout de même extirpé quelques informations made in wikipedia & Official sites histoire de ne pas avoir que des liens.


Blood Red Shoes

Blood Red Shoes est un groupe de musique alternative originaire de Brighton, Angleterre, crée en 2004. Laura-Mary Carter et Steven Ansell sont les deux seuls membres du groupe.
Ils sortent leurs premier album "box of Secrets" le 14 avril 2008 après avoir fait une bonne centaine de concerts, dont le Montreux jazz festival le 15.07.2008. (je l'ai ai connu via ce live-tv-)
Site officiel


Metric

Metric est un groupe canadien de Rock indépendant formé en 1998 à New York (mais actuellement basé à Toronto( Canada). Le groupe comprend au départ une chanteuse, Emily Haines (qui joue également du clavier), et un guitariste James Shaw. Leur premier album (EP) "Static Anonymity EP" sort en 2002.
Site officiel: Canadien / Français



The Asteroids Galaxy Tour

The Asteroids Galaxy Tour est un groupe de Pop danois créé en 2006 par Lars Iversen et Mette Lindberg. Tout le monde le connais grace au titre "Around the Bend" utilisé dans une pub pour l'Ipod.
Site officiel

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Voila pour aujourd'hui les enfants, et allez écouter ces groupes si vous ne les connaissiez pas et dites m'en des nouvelles. Je pense renouveller le '3GM' chaque weekend, soyez vigilants.

06/10/2009

Renouveau

Ou un baiser subtilisé






Il y'a des gens qui après une rupture, pleurent, s'en veulent, sont prit de colère et cherche à reconquérir l'ancienne âme-soeur. Et bien je tiens à leurs dire: "Ahah! Bande de cons!"
Continuer à chérir un être qui ne vous aime plus n'est que pure masochisme, une idée fanée, foirée et -presque-insensée!
Hurler "Pitié! Rendez-la moi!" alors qu'à côté de vous un être vous chuchote "Pitié! regarde moi..." c'est tourner le dos à l'amour, n'est-il pas? Surtout quand la jeune femme est belle, inteligente et qu'elle arborde un regard troublé à chaque fois que vous la mordez. (Oui pauvre lecteur, votre narrateur adore morde aux gorges).

De ce fait j'ai c(r)aché mes souvenirs dans un coins de ma chambre et ai voulut ne plus me consacrer à aucune femme pour l'instant. Mais les assauts répétés font s'écrouler les plus solides rempares des plus impénétrables villes (certains souririont à cette dernière métaphore).
Suite à la chute du mur, hurlant que j'étais un gateau à la crème, je me suis donné une semaine pour mettre en ordre les sentiments qui m'assaillaient. Il ne m'en a fallut qu'un. Puis j'ai joué à pile ou face entre 'maintenant' ou 'attendre encore' et je suis tombé sur le second... Et je n'ai résisté au premier que deux malheureux jours... Cela prouve que je désirais (et désire) la personne en question.

Toujours est-il lecteurs qu'après une dizaines de gestes avortés, je l'ai embrassé, comme si de rien n'était. Puis pour lui dire au revoir ce soir, je me suis de nouveau aventuré sous ses sublimes yeux hébétés.


j'aime marcher le cœur léger un sourire vissé aux lèvres

04/10/2009

Sans l'une...

L'autre s'effondre





Elle l'avait trahi. Elle l'avait trahi après de si nombreuses danses, interminables. Certes les nuages obstruaient de temps à autre leurs regards, mais ce n'étaient que des nuages blancs la plupart du temps.
Son départ n'avait tout d'abords rien fait à son ami qui s'était dit que, même seul, elle ne risquait rien. Elle était forte. Mais l'arrivée des nouvelles révolutions lui fit comprendre. Sans elle tout se déréglait. Les océans ne bougèrent plus, les nuits se changèrent en ténèbres et même l'activité interne se trouva modifiée. Le feu ne bougeait plus de la même façon, le feu ne cherchait plus à réchauffer mais à détruire, crachant des flots de destruction en direction de la fuyarde, ou du moins en direction de son ancienne place. Elle était seul et ne pouvait que cracher toute sa colère dans le vide. Les ténèbres.
Il lui fallut plusieurs jour pour se calmer, pour retrouver un déroulement normal, mais elle y arrivait. Le soleil brillait de nouveau, sur elle comme sur les autres, plus lointaines. La vie était revenue.
Mais comme si ce n'était pas tolérable, le ciel envoya un nouveau défit... Lié au précédent. L'ancienne cavalière fut surprise à tournoyer autour d'inconnues, cherchant une nouvelle orbite. Si peu de temps s'était écoulé.
La blessée se trouva de nouveau flamboyante. Crachant! Tremblant! dans ce flot de lave et de vent, ses eaux s'asséchèrent soudainement. Ses eaux s'étaient envolées recouvrant sa surface d'une insaisissable carapace... Fragile.

Cela fait maintenant quelques temps que la Lune a quittée son orbite, laissant la Terre seul à son triste sort, laissant une Terre qui avait changée au gré de son Satellite.



03/10/2009

Lemon

ou un texte acidulée.





Attention, ce texte peu heurter la sensibilité des plus jeunes et des plus étroits d'esprit.
Merci d'excuser les fautes, ce texte à été écrit il y'a un an. (en mai)




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«Tu seras toujours avec moi, hein?»
La main sur mon épaule, il m’avait demandé ça… si soudainement que ça m’avait fait peur. C’est vrai que l‘on était amis depuis la crèche, mais ces temps-ci il m'énervait pour presque rien, tout ça depuis qu’il s’était fait ces nouveaux amis... surtout elle, cette pimbêche qui l’allume à chaque fois qu’il croise sa route. Rien que d’y penser j’en ai les lames au bord des yeux. Enfin voilà, ça fait 16 printemps qu’on se connaît, nos mères nous ont mit au monde à quelques secondes d’écart, moi devant et lui suivant. Il faut dire que nos mamans sont de très bonnes amies, et voisines qui plus est. Imaginez la joie lorsqu’elles ont mit au monde, le même jour, presque à la même heure, et dans la même chambre, deux enfants du même sexe. Elle nous ont donc donnés le nom du grand-père de l’autre: Geoffrey pour lui, Damien pour moi. Vous me direz, elle auraient put prendre ceux de nos paternels... mais ‘faut dire que John Doe ça sonnait assez mal.
Enfin voilà, il était la, ses longs doigts enserrant mon épaule, et son souffle, rauque, si près du mien.
«Demande à ta chérie!»
J’aurais peut être dû être moins agressif, sur le coup il risque de vraiment mal le prendre...
«Quoi!?»
Qu’est-ce que je disais, j’aurais pas put faire pire que ça. Je n’ose plus rien dire.
«Tu crois vraiment que cette fille compte plus pour moi que toi? J’sais pas si tu te souviens, mais on est comme des frères, et je ne laisserais pas une fille se placer entre toi et moi.»
Ma gorge et nouée, mes yeux me piquent... J’ai comme une boule au cœur. Comment ai-je put être aussi débile, c’est vrai qu’il me considère comme son frère... Mais moi, ça a changé depuis “elle”... C’est devenu plus que de l’amitié.
«Mais...-J’ai du mal à parler-... Mais tu reste souvent avec elle, et vous vous câlinez tout le temps... J’peux pas le supporter plus longtemps, j’ai des envie de meurtre quand je la vois comme ça dans tes bras.
-J’t’ai déjà dis que c’était qu’une amie, et...
-Merde! Moi aussi j’suis ton ami!»

Je ne sais pas ce qu’il me prend, moi qui normalement ne montre pas ce que je ressent, je ne peut plus arrêter ce flot de tristesse, de colère et d’amour brisé... Je n’avais jamais été jaloux d’une autre personne.
«Tu...?
-Et si ‘oui’? De toute façon ça changera rien si...»

Ma phrase est coupée. Sa bouche... Il viens de coller ça bouche contre la mienne, il m’embrasse... Pour que j'arrête de parler? Non, ça ne lui ressemble pas... Il m’embrasse pour me consoler? Je ne sais pas, je n’arrive plus à réfléchir, je sais juste qu’il m’embrasse et que je répond à son baiser si sucré... On avait déjà testés, Il y a deux ans, mais ça ne ressemblait pas à ça. Bordel! Est-ce qu’il m’aime ou est-ce qu’il se fou de moi? Merde, il a arrêté... J’ai le souffle arraché, son goût est sur ma langue et mes lèvres... J’en ai la chaire de poule.
«Tu vois que ça change quelque chose.»
Je ne sais pas quoi dire, je suis pétrifié, même mes lèvres sont immobilisées. Je ne peux plus bouger, même pour lui sauter dessus... Merde! Mon palpitant fout l’camps, je me sens défaillir... Je n’ai jamais ressenti ça auparavant... C’est si intense. Il m’embrasse une nouvelle fois, mais plus calmement, plus lentement... Il a ravalé ça fougue de tout a l’heure, mais ça reste aussi sincère, aussi fort. je ne veux pas qu’il me lâche, je ne veux pas qu’il décolle son corps du mien... Si chaud... Je viens de me rendre compte que mon sexe s’est durcit... Et je sens aussi le sien collé contre moi. Merde que c’est bon. Il arrête de nouveau, j’ai envi de pleurer, de crier, comme un enfant qui à faim... Mais il descend ses lèvres, glisse sur mon menton, passe sur mon coup, lèche ma pomme d’Adam et continue à glisser... Puis en remontant, vers mon oreille cette fois. Sa langue joue avec mon lobe, il le gobe et commence à le mordiller... Merde, j’suis tout excité... et j’avais même pas fait gaffe que j’avais mes bras autour de sa nuque et que je lui serais les épaules. Si il ne me prend pas pour un fou c’est qu’il doit aimer... C’est vrai qu’il est assez casse-cou et que je me demande souvent si il aime se faire mal... Mais maintenant je sais, il doit être assez maso. Juste à entendre son souffle suave quand je le sert plus et que je lui enfonce légèrement les ongles dans la peau, je le devine. Bordel que c’est bon... Je n’sais pas si mon cœur, mon corps, vont tenir... Mais je veux aller le plus loin possible, même si je dois claquer entre ses bras, même s’il doit claquer l’entre de mon ‘moi’ ... Je le veux.

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Je marche dans la ville du plaisir, accompagné par le plus beau garçon de cette saison, le souffle court et l’âme allongée. Ses baisés, doux et sensuels, papillonnent au travers de mon corps maintenant en contacte avec le sien sans aucun artifice pour les gêner. Il a arraché ma chemise et j’ai ôté son maillot. Il a ouvert mon cœur et y a planté sa langue chaude, choquante et chavirante. Je suis allongé sur le dos tandis qu’il l’est sûr moi. Son souffle parcourt la partie découverte de mon corps, ses doigts font claquer mon caleçon et mon cœur. Sa langue continue à glisser sur moi, passant sur mon nombril, s’attardant sur ma poitrine et se languissant entre mes lèvres. Je ne pensais pas qu’il était aussi doué que ça. Et moi qui n’ai jamais touché personne... Mais il me l’a dis, il préfère mener cette longue danse, me tester et m’habituer pour que je survive entre ses bras plus d’un tour de chrono. Mes joues sont bouillantes, mon cerveau surchauffe d’informations de plaisirs transmises par tout les pores de ma peau. Mon sexe, plus rigide que jamais semble vouloir s’extirper de mes vêtements pour aller retrouver le sien.
«Te voilà suffisamment excité pour passer à la suite.»
Il est très calme, sa voix déjà normalement belle est devenue plus que fantasmagorique. Sa bouche descend sur mon jeans, ses dents arrachent les fermetures et ses mains enlèvent le bout de toile. Il remonte vers moi et m’embrasse, me demandant de faire pareil. Je passe donc mes deux mais sous son ventre, tout en en profitant pour le caresser au passage. Je saisis la frêle fermeture et la fait glisser avant de passer une main à l'intérieur et de caresser son sexe du dos de la main. Je glisse un doit sous le bouton et tire un coup sec, l’arrachant simplement. Je suppose qu’il ne s’attendait pas à ça. Je descends ensuite son vêtement, il m’aide pour aller plus vite et le projette contre le mur où il s’écrase lamentablement au sol. Il se plaque contre moi, se glisse entre mes bras, entre mes cuisses, pour que sa verge se colle à la mienne à travers la toile de nos sous-vêtements. Il bouge son bassin et je la sent durcir un peut plus, l’imaginant tel une plante fantastique, s’entourer autour de la mienne. Ses lèvres cherches les miennes, mais il ne trouve que ma nuque. Mon visage regarde le mur derrière moi, mes bras caressent ses fesses et ses reins tandis que sa bouche m’embrasse sauvagement, et que ses dents me mordillent tendrement. L’extase au sens propre du terme, voilà ce que je vis, et je languie d’impatience en attendant la suite... La suite qui arrive déjà. Il me fait rouler au dessus et me demande une faveur. Tendrement, j’arrache le dernier bout de tissus avant de me rendre compte que je ne sais pas comment il l’aime. Je le regarde, peiné de ne pas le savoir, et il comprend tout de suite mon problème. Il m’embrasse.
«Ne t’en fait pas, je suis la pour te montrer.»
Doucement, je colle ma main sur sa verge, pris entre ses doigts. Il sert lentement la prise et commence les mouvements. Je suis le rythme et il ressert légèrement la prise, continuant toujours aussi lentement avant de me lâcher, me laissant faire seul maintenant que je sais ce qu’il aime. Je ne monte pas très haut, mais descends très bas, je n’ai pas peur de serrer trop fort puisqu’il aime. Je le regarde s’enivrer de plaisir, sa main gauche prise dans ses cheveux, et l’autre dans les miens. Je continue mes actes, prenant plaisir à l’avoir en main, à serrer plus fort et relâcher pour le voir se cambrer sous mon visage. Il semble venir mais me retourne subitement, je lâche prise et il attrape la mienne, la malaxant tendrement, plongeant profondément, et remontant aussi haut que possible. Il ne sert pas, il le fait comme j’aime. Il sait. Comment a t-il put deviner? Suis-je si transparent à ses yeux? Mais ceci n'a pas plus d’importance, n’en a jamais eu et n’en aura jamais. Ses longs doigts enroulés autour de ma verge continuent leurs slow langoureux alors qu’il se tend pour que je l’embrasse. C’est a mon tour de le titiller de ma langue, partant de sa joue, grimpant sa mâchoire puissante, puis coulant dans le creux de son coups, m’y attardent légèrement avant de lui dévorer, plus haut, le lobe de l’oreille. Un cri sort de sa gorge, j’ai peur de lui avoir fait mal. Sa main libre remonte tandis que l’autre accélère le rythme. Il attrape mon visage au niveau de ma tempe et le colle un peut plus sur lui. Je le mord de nouveau, et cette fois, c’est un gémissement que je comprend de plaisir qui s’extirpe de sa bouche. Sa tête est collée sur ma poitrine bientôt inondée de baiser. Il accélère encore le rythme et ressert soudainement la prise, provocant une extase orgasmique des plus merveilleuse. Je me cambre sous lui, mes poings serrés, mes coudes poussés en arrière et mes fesses soulevées. Aucun cri ne s’échappe de moi, juste un long râle de vieux fauve. Je retombe brusquement sûr le lit, ne quittant pourtant pas le Septième ciel. Son visage descend, il lèche mon sexe et le prend en bouche pour le nettoyer de sa langue
humide et chaude. Je laisse passer un crie de surprise lorsqu’elle passe sur mon gland. Mon sexe et en feu et le moindre contacte laisse passer une sensation étrange, excitante, légèrement douloureuse. Il remonte vers moi et m’écarte les jambes.
Le moment arrive rapidement, tel un éclaire dans un ciel d’été, il se colle à moi.

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Ses mains m’attrapent au niveau des hanches pour me tirer plus vers lui. Son sexe se retrouve collé à mon périnée, prêt à m’agiter. Il enlève une de ses mains et la dirige vers sa verge qu’il saisit. Il la place, la glisse lentement et tendrement. Je ne peux que me cambrer sous cette adorable douleur et il ralentit, inquiet, ne voulant me faire aucun mal. Je lui caresse la jambe, lui intimant de ne pas s’en faire pour moi. Je suis fort, et si pour me faire posséder par cet homme il faut que je ressente une légère douleur, je l’accepte et le souhaite. Il m’attire encore plus, s’enfonçant dans mon être. Je n’ai rien sentit de comparable durant tout mes flirts. Je me sent apaisé et je suis aussi chaud qu’une braise. Il se penche un peut plus et me tire vers lui, je l’attrape par la nuque pour ne pas retomber et le sent ensuite bouger sous moi. Un cri sort de ma gorge, accompagné de soupires de plaisir. Je bouge a mon tour, m’habituant peu à peu à cette posture. Je ne me pose plus aucun question, je vis juste l’instant présent, le sentant bouger en moi, aussi dur qu’un roc. Je l’aime, et cet acte sera le plus beau de ma vie. Il bouge un peut plus, encore plus rapidement me voyant gémir de plaisir. Ce vas-et-viens semble durer depuis une éternité avant que je sente sa sève glisser en moi. Dans un ultime effort, il me fait bouger sur lui, m’attrape à la bouche et m’embrasse passionnément. Je me vois fondre, la sueur coulant de mon front me rend aveugle, et l’effet que fait sa verge plantée en mon être m’oblige à gémir une fois encore tellement fort que j’en perd toute force. Je le lâche et me vois m'effondrer sur le dos. Il me rejoint quelques secondes plus tard, s’allongeant sur moi, passant sa langue sur mon torse, remontant jusqu’à mes lèvres. Nos langues jouent ensembles encore un long moment avant qu’il ne glisse sa main sur mon bas ventre, attrape mon sexe et le caressant de nouveau. Je suis plus excité que jamais et il recommence ses gestes, plus difficilement dans cette posture. Il passe sa langue sur ma nuque et la mord. Ses dents me serrent peu, et sa langue joue sur mes veines, comme sa main plus bas. Je sens mon sexe gonfler, comme si tout mon sang ne circulait plus que dans ce membre. Il intensifie le mouvement et glisse ses lèvres de ma nuque à mon torse, de mon torse à mon ventre, pour finir sur mon sexe. Sa langue remplace en grande partie ses mains, tournant autour de moi. Il m’attrape entièrement. Ma tête part en arrière dans un soupire final. Je le sent jouer encore de longues secondes avant qu’il ne remonte à mes lèvres. Il s’effondre à coté de moi, et je roule pour qu’une partie de mon corps soit encore en contacte avec lui, que mes lèvres se nichent dans le creux de sa nuque. Je m'endors, tout comme lui, épuisé.
Le soleil s’est peut être levé depuis deux bonnes heures, mais je m’en fiche. Je suis bien ici, dans son lit. Je me remémore cette longue nuit et ne me demande pas une seconde si j’ai bien fait, car j’ai bien fait. Son odeur m'imprègne tout comme ma sueur, et je trouve étrange de trouver mon sexe de nouveau dressé. Peut être ne se rappel t-il pas de la nuit dernière.
J’ouvre les yeux sur un oreiller ou la tête de mon amant ne repose plus, sur un matelas ou son corps n’est plus. Je me redresse soudainement. La chambre est vide. Ou est-il?! Je me lève, enfile mon caleçon et remarque que son jeans n’est plus là ou il aurait dut rester jusqu'à cet après midi. Je sort de la chambre, ouvre la porte, franchi le petit couloir et le retrouve torse nu, de dos, dans la cuisine. Des bruits répétitifs se font entendre, en rythme avec le mouvement de son bras. J’avance, passe ma tête sur son épaule, curieux, et le vois en train de découper divers aliments pour les faire ensuite glisser dans deux bols. Il nous prépare une salade? J’espère qu’il ne me regarde pas, car mon visage doit avoir prit une teinte rouge. Je ne pensais pas qu’il était si adorable. Je l’embrasse dans le coup et me colle amoureusement contre lui. Il passe une main sur mes fesses au mêmes moments que les miennes arrivent sur ses pectoraux et il me lance:
«Bien dormi chéri?»
Je deviens encore plus rouge suite à ce petit nom lancé à mon attention et le sert encore plus contre moi, heureux que nous en soyons là... Chéri. Je l’embrasse sur la joue pour lui dire oui et le regarde continuer son travail.
«Tu nous fait une salade au petit déjeuner?»
Un rire. Il tourne sa tête vers la mienne et m’embrasse avant de me lancer qu’il est déjà midi. j'élargis les yeux et regarde l’horloge toute proche qui indique exactement midi et onze minutes.
«J’espère que tu as bien dormi.»
Je lui répond que oui lorsqu’il saisit les deux bols et se dirige vers la table du salon. Il nous met l’un en face de l’autre et s’assied. Je fais de même et commence à manger, affamé. En plus d’être un amant adorable il est bon cuisiner. Je crois qu’on ne peut pas tomber mieux.
«C’est quoi cet arrière goût?»
Il avale une boucher, me regarde de ses yeux si séducteur -pervers?- et frôle ma jambe avec son pieds, remontant petit a petit pour le coller sur mon entre jambes et me répond.
«Gingembre.»
Un sourire coupe maintenant nos deux visages.
Je crois bien que son jeans va trainer sur le sol encore plus longtemps que ce que je pensais...





02/10/2009

Le retour du guerrier

Ou étalage de vie privé.





C'est après deux semaines -ou une très longue- que je peux enfin accéder à mon ordinateur, et je peux vous dire que cela fait un bien fou.
(De toute façon je n'ai manqué à personne je pense vu les courbes de l'activité du blog.)

Flash info important dans ma vie:
-Une relation de plus d'1an foutu en l'air (largué ça sonne pas assez mal)
-Pas de nouvelles photos prises mais des idées
-Une jolie-fille peu discrète
-Otaku Girls lu et adoré
-Exposé sur Bob Dylan
-Mauvaises notes
-Option cinéma
-Tir à l'arc

Voila c'est à peu près tout.

A plus tard pour des articles un peu plus normaux.

16/09/2009

Carancerth


Ou un maitre du déguisement



Parce que montrer qu'on connais un Grand et lui faire de la pub, c'est toujours bien vu.

Ouais, je le connais -enfin...
Je l'ai rencontré à la Japan Expo 2008, alors qu'il habitait Lestat, et ce grâce à un chat nommé Nyuuun rencontré sur place qui voulait se faire mordre par le Grand Vampire (qu'est n'est pas si grand que ça blague a part)... Enfin bref, en Grand Seigneur, j'accompagnais cette Nyuun, et après une brève discution, Lestat a accepter de nous mordre -si l'on trouvait une troisième victime- (oui, il voulais faire du chiffre) ce que nous avons fait très rapidement.
"N'ai pas peur, c'est juste pour te faire mordre avec nous"
Ayant été mordu, je peux vous dire que Chris -pardon, Lestat- mord comme il faut, avec un jeu parfait et des effets spéciaux basiques mais efficasses (Il met la langue ce coquin).
Nous avons donc discuté un peu après et avons récupèrés les adresses msn des autres avant de nous séparer.
Suite à cela, j'ai put parcourir son myspace, son youtube, son dailymotion et son Deviantart -site ou JE figure aussi.
J'ai aussi parlé un peu à cet acteur -Il en a l'étoffe-, sympathisé si l'on puis dire, et eu des conseils niveau photographie.
Enfin voila, tout ça pour vous envoyer chez lui, vous dire qu'il est agréable, joueur et combatif (au sens propre), après je ne le connais pas plus que ça, et c'est bien dommage.


J'espere avoir un retour de pub

Chris (Lestat) à la Japan Expo 2008

14/09/2009

Déesse de la Lecture


Ou "La merveilleuse prof' de Français au Monde"



Aujourd'hui, comme j'ai fini à 10heure, je suis aller chercher un livre pour le français, avec deux amis.
Nous étions donc à la librairie lorsque je vis passer dehors, devant la double porte vitrée, ma Prof de Français de 3Eme (Madame F.). L'adorant, et ne l'ayant pas vu depuis de nombreux mois (et ayant aussi fini un livre qu'elle m'avait offert), je pose mon sac au pied du comptoir, sort, lui court après sur 5mètres et l'interpelle en lui posant la main sur l'épaule.
Nous discutons quelques minutes, de livre et de films principalement -comme d'habitude quoi-, puis, voulant me donner une liste de noms d'écrivains ainsi que leurs oeuvres, nous rentrons dans la Librairie -pour retrouver mon sac- et nous nous dirigeons vers un rayon qu'elle semble -très- bien connaitre.
Elle me montre des auteurs, des oeuvres, me fait donc ma petite liste et finalement me dit qu'elle m'achète un livre.
Moi, ultra-gêné -et heureux-, je lui affirme que, non, il ne faut pas... Ce a quoi elle me rétorque que si.
Elle se dirige donc vers le caissier qui lui dit qu'elle a plusieurs euros de réductions... Ce qui lui a permis de m'a acheté un second bouquin. Je ne sais pas si je suis devenu rouge, mais j'avais quand même chaud en la remerciant lorsqu'elle est partie.

Une prof aussi sympa vous connaissez, vous?

Livres aquis:
*'Shutter Island', de Dennis Lehane
*'La cité des Jarres', de Arnaldur Indridason
*'Le Vol des cigognes', de Jean-Christophe Grangé (offert il y'a quelques mois)

Liste:
*'Mygale', de Thierry Jonquet
*'L.A. Confidential', de James Ellroy

13/09/2009

Jim Morrison


OMFGIWTFY



Chanteur, Poète, Messie pour certains. Il est né le 8 Decembre 1943, mort le 3 Juillet 1971.
Mais de ça, je ne m'en intéresse pas tellement.
Jim Morrison, Chanteur des Doors.
Je l'ai découvert sur Arte, (ou redécouvert puisque j'avais déja ouïe quelques unes de ses chansons) grace à un film plus ou moins biographique. Je dis "plus ou moins" car certaines choses ne collent pas (CF; fans inconditionnels). Suite à la vision de cet écran projetant une image psychédélique d'un homme a la voix envoutante, j'ai parcourut le monde pour trouver n'importe quel album de ce groupe. Heureusement pour mes oreilles, les 40ans du groupes vennaient d'être fêtés. Une compilation se tennait devant moi dans un rayon de magasin, une veingtaine de chansons, dont les plus connus, y figuraient.
Je l'ai acheté, l'ai écouté et ai voulut avoir tout ses albums en ma possession. Je les ai donc trouvés au bout de quelques jours et je les ai écoutés.
Ce qui est bien quand on se fait une discographique quasi-complète (car je suppose qu'il me manque au moins une chanson ou deux), c'est qu'on peut l'écouter en boucle pendant un moment. Entre le 1er titre et le dernier peut se passer plusieurs jours, assez d'heures pour ne pas se lasser de réécouter une nouvelle fois Light my fire, Alabama Song ou encore Gloria. Et même après avoir fait tourner vingt fois la playliste, on peut aquérire un live et se réjouir d'entendre Jim parler cette fois, vider entierement ses poumons face au publique... Publique dans lequel on aurait aimé être, mais trop jeune pour avoir eu une chance d'en faire partie.

Jim Morrison, Le roi des Lézards.



Peut importe, une fois mort je l'écouterai encore... En live avec Jésus.

Otaku Girl

Merci a Nolife pour la découverte.





Je vous avoue que je ne suis pas un grand dévoreur de manga (et que je suis à peine plus gourmand pour les anime). Je n'ai lu que "L'amour a tout prix" et "Ludwig Révoluttion", qui ne dépassent pas respectivement 8 et 4 tomes. En plus je les ai empruntés. Pour le reste j'ai rarement accroché, soit à cause de l'histoire soit à cause du dessin, alors trouver un manga qui me plait est toujours une bonne chose.
Je vous invite donc vivement à suivre le lien lié au titre pour vous faire un avant-goût de ce manga. Seul le tome 1 est sorti en France, aux éditions Doki-Doki.


Titre original: Mōsō Shōjo Otaku-kei
Titre français: Otaku Girls
Auteur: Konjoh Natsumi
Genre: Comedie, Romance (Seinen)
Paru: 1/5


Synopsis

Comment déclarer sa flamme à une fille qui vous croit gay ? C’est la galère dans laquelle se trouve Takahiro, un lycéen qui en pince pour l’adorable Rumi, au point de poser pour elle au club d'arts plastiques. Le problème, c’est que Rumi est une otaku finie, une passionnée de manga yaoi, et qu’elle voit des homos partout. Ivre de bonheur, elle s’imagine une liaison entre Takahiro et le playboy du lycée, Shunsuke. Voilà qui n’arrange pas non plus la très glamour Yasuko, elle aussi otakette jusqu'au bout des ongles, qui a des vues sur le beau gosse. Vous suivez ?

Lire un extrait

12/09/2009

Relation à distance


Voila une chose bien cocasse.



Ce genre de relation est, dans le cerveau de la plupart des gens, vouée à l'échec. Mais bon nombre de couples que je connais endurent l'absence de l'autre. Certains sans broncher, d'autre en maudissant une quelconque entité supérieur de les avoir mis dans une tel situation. Et je ne peux que les comprendre étant dans la même.
Etre amoureux à en crever, avoir envie d'enlever sa moitié chaque soir, vouloir l'enlacer chaque fois que l'occasion se présente, l'embrasser, la cajoler... Et ne pas pouvoir le faire. Frustration, ennui, colère, de la jalousie envers les couples qui s'embrassent à n'importe quel moment, Et même de la jalousie envers les célibatairs qui ne connaissent pas cette sensation, qui peuvent aller conter fleurette à chaque fille qu'ils trouvent belle, pouvoir partager avec tout les yeux qu'ils croisent. Evidemment, ceux-ci me diront que ce n'est pas pareil, qu'ils préferaient avoir quelqu'un, une vrai relation et ce même à distance.

Tout ça pour dire que l'Homme n'est jamais heureux, il lui manque toujours quelque chose, parfois même lorsqu'il est bien. Si je n'étais pas si amoureux je n'attendrais pas de nombreuses semaines pour simplement la voir, pour simplement l'embrasser. Si je n'étais pas si amoureux je jouerais avec certaines demoiselles. Mais que voulez-vous, je me contiens, j'ai des sentiments pour elle.

Je l'aime à m'en crever les pensés

Puisqu'il faut un commencement...


Commençons donc par les présentations.


Vous pouvez m'appelez Benou ou Ben si vous avez peur de fatiguer vos mignons petits doigts (ou vos gros doigts grassouillets plein de Nutella). J'ai 17ans (né en mars), je suis en 1er L -histoire de faire comme tout le monde, tu vois?- et compte bien réussir mon année... histoire de passer mon Bac avant mes 20ans -_-
Enfin bref.
Pendant mon temps libre -et quand je sort-, je fais de la photographie et ce depuis bientot deux ans je crois.
Je compte m'acheter un reflex l'année prochaine, histoire de faire de la photographie comme je le souhaite (Parce que prendre, avec mon appareil, l'expression de quelqu'un qui bouge, c'est flou).
Il m'arrive aussi d'écrire et de dessiner, bien que je ne sois pas très bon dans aucun des deux domaines.

C'est donc en partie pour m'améliorer (le reste étant que je me fais chier) que j'ai décidé de créer ce blog. Pouvoir montrer mes 'oeuvres', que tous puissent les juger... En espérant ne pas avoir de "j'aime pas" ou "c'est moche" sans aucune explication.


Voila qui je pense suffit pour la présentation de l'auteur et du blog. En espérant évoluer grâce à vous.
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